top of page

Et si le monde était un rêve ?

20210919_220102_0000.png

Peut-être vous aussi avez-vous connu des moments où vous subissiez votre vie?

 

Ca m'est personnellement arrivé il y a quelques années !

 

Dans le cadre de mon travail, par exemple, j’ai pu penser que « Ma patronne est passée devant moi ce matin et n’a pas pris le temps de me dire bonjour. Ça veut probablement dire qu’elle n’apprécie pas mon travail, peut-être même qu’elle ne m’aime pas. »

 

C’est l’accumulation de ces petites frustrations qui m’ont fait dire « Ok, alors si c’est comme ça, à partir de maintenant, je lève le pied ! ». Voilà comment arrive le désengagement des collaborateurs.

 

L’IBET (Indice du Bien Être au Travail) nourrit un observatoire national de données sociales comparatives permettant d’évaluer le coût moyen du désengagement et de non-disponibilité en entreprise. Pour 2020, il était de 14310€/an et par personne !

 

Il faut reconnaître que nous vivons dans un monde où le cerveau gauche a la part belle. Tu sais, celui qui analyse, réfléchit, celui qui est doué pour les maths, la logique.

Et si on inversait la tendance en développant aussi le cerveau droit, et notamment l’implication émotionnelle ?

 

C’est le choix que j’ai fait avec mon nouveau métier : développer l’intelligence relationnelle et éduquer au fait que je suis humain : je peux réfléchir ET ressentir.

 

Reprenons mon exemple et le fait que ma patronne ne m’a pas saluée. Ce matin-là, j’ai clairement ressenti de l’agacement. Au lieu de râler, bouder, me plaindre et finalement être la première à souffrir, j’aurais aussi pu aller la voir en lui disant : « J’aimerais vous parler quand vous avez 20 minutes devant vous, est-ce possible ? »

 

Puis, je lui aurais exposé mes ressentis et les besoins qui y sont liés :

« Ce matin, vous êtes passée devant mon bureau sans me regarder ni me dire bonjour. J’ai ressenti de la contrariété, de la déception et de la solitude.

Vous le savez peut-être depuis le temps qu’on travaille ensemble, je suis quelqu’un qui a besoin de reconnaissance, de chaleur humaine et également de respect.

Puis-je vous demander qu’à partir de maintenant, on se dise bonjour le matin quand on se voit ? Pour moi, cela signifie qu’on se soutient car nous sommes tous réunis autour de valeurs communes et d’un projet commun : avancer ensemble ! »

 

Alors, évidemment, le fait de m’exprimer n’aurait peut-être pas changé la face du monde ; mais, en tout cas, j’aurais libéré de la tension émotionnelle, accumulé moins de rancœurs vis-à-vis d’elle et nos relations auraient peut-être été plus apaisées.

 

Ma responsabilité d’être humain, c’est aussi de comprendre que mes paroles, mes pensées, mes ressentis m’appartiennent. Il est crucial d’agir pour ne pas être spectateur de ma vie.

 

Ma mission de vie aujourd’hui est d’interagir en entreprise pour inspirer le plus grand nombre de collaborateurs. Je leur distribue des outils permettant d’identifier leurs émotions, de se positionner par rapport aux autres dans le respect de leurs valeurs.

 

Ainsi, ils savent mieux qui ils sont, redeviennent maîtres de leurs relations et de leur vie.

C’est dans le cadre de ce cercle vertueux que le mieux-vivre en entreprise se généralise !

  

C’est en se changeant soi-même qu’on peut le changer ce monde. 🎉

bottom of page